Vous ne faites point de péché en divorçant d´avec des épouses que vous n´avez pas touchées, et à qui vous n´avez pas fixé leur mahr . Donnez-leur toutefois - l´homme aisé selon sa capacité, l´indigent selon sa capacité - quelque bien convenable dont elles puissent jouir. C´est un devoir pour les bienfaisants.